«Prévention et gestion des crises pastorales : préparation, alerte et réponse », tel est le thème choisi pour cette deuxième édition des Entretiens Techniques du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel, ETP-PRAPS, qui se tient du 3 au 5 juillet 2017 à Niamey-Niger.
Ainsi, après Dakar en 2016, c’est au Niger d’abriter cette plateforme de réflexion et d’échanges sur le pastoralisme qui pendant 72 heures, abordera différentes thématiques liées aux conditions d’existence des pasteurs et agro pasteurs : prévention des crises pastorales, suivi et alerte sur les situations pastorales critiques, réponse aux crises pastorales.
La cérémonie d’ouverture de ce grand rendez-vous du pastoralisme a été présidée par M. Mohamed Boucha, Ministre délégué en charge de l’élevage du Niger, avec la présence effective de M. Siaka Bakayoko, Représentant résident de la Banque Mondiale au Niger, de l’Administrateur intérimaire du Centre Régional Agrhymet, M. Samba Ly Souleymane et de M. Souleymane Fofana, chargé du PRAPS Niger à la Banque Mondiale.
Les différentes allocutions qui ont ponctué cette cérémonie d’ouverture ont été l’occasion de rappeler combien le PRAPS est un projet ambitieux et porteur. C’est ainsi que M. Bakayoko, Représentant résident de la Banque Mondiale au Niger, a tenu à transmettre toute sa satisfaction de voir le PRAPS évoluer positivement avec déjà une forte mobilisation quant au financement du pastoralisme au Sahel. Ce projet, en effet, constitue un modèle pour de nombreux autres en gestation par la Banque Mondiale pour notre région. Eradiquer la pauvreté et répartir les fruits de la croissance : sont des objectifs auxquels le PRAPS contribue effectivement. Ses propos ont également fait remarquer les grandes attentes nourries pour cette rencontre, cadre de rassemblement des praticiens, d’échange et de partage de savoirs
M. Samba Ly Souleymane, Admnistrateur Intérimaire du Centre Régional AGRHYMET, institution spécialisée du CILSS, a également conforté les propos de M.Bakayoko, en témoignant de l’ardeur au travail des équipes nationales et régionales du PRAPS. Ce dynamisme porte des fruits en dénote les missions de supervision à la mise en œuvre du projet dont les conclusions n’ont eu de cesse de montrer l’impact bénéfique du projet. Il a également rappelé l’importance de la collaboration entre acteurs du PRAPS : partenaires techniques, organisation intergouvernementales, organisations professionnelles et de la société civile. Convaincu qu’à l’issue de cette édition des Entretiens Techniques du PRAPS, les notes produites seront à même d’impulser des changements nécessaires pour une place plus grande du pastoralisme dans nos économies nationales, il a tenu à remercier la Banque Mondiale partenaire technique et financier du PRAPS ainsi que le consortium IRAM-CIRAD pour leur accompagnement scientifique et technique.faire, connaissances et de stimulation de solutions face aux nombreux défis qui se dressent au pastoralisme au Sahel.
Enfin, M. Mohamed Bouchari, ministre délégué en charge de l’élevage du Niger, de partager ses fortes attentes face à ces Entretiens Techniques du PRAPS qui tout comme le projet en lui-même cadrent avec la vision du gouvernement nigérien qui met un point d’honneur à développer l’agriculture et l’élevage, « mamelles de nos économies ».
Face aux nombreux défis de la région : insécurité généralisée, mobilité pastorale, changement climatique…, il apparait primordial de travailler à la réduction des dommages directs et collatéraux liés à la transhumance et ainsi mieux anticiper les crises qui pourraient survenir. Cette rencontre vient donc à point nommé.
Partage de connaissances et d’expériences, renforcement de capacités des acteurs du PRAPS, échange d’informations, valorisation des savoirs et connaissances, sont tant d’objectifs poursuivis par les organisateurs de cette deuxième édition des Entretiens Techniques du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel. Une centaine de participants venus du CILSS, des organisations internationales, régionales, nationales, de la société civile, des organisations paysannes, des organisations partenaires techniques, des organisations partenaires techniques et financiers, des gouvernements, sont ainsi réunis pour durant ces 3 journées débattre des solutions de prévention et gestion des crises pastorales.
Ainsi, après Dakar en 2016, c’est au Niger d’abriter cette plateforme de réflexion et d’échanges sur le pastoralisme qui pendant 72 heures, abordera différentes thématiques liées aux conditions d’existence des pasteurs et agro pasteurs : prévention des crises pastorales, suivi et alerte sur les situations pastorales critiques, réponse aux crises pastorales.
La cérémonie d’ouverture de ce grand rendez-vous du pastoralisme a été présidée par M. Mohamed Boucha, Ministre délégué en charge de l’élevage du Niger, avec la présence effective de M. Siaka Bakayoko, Représentant résident de la Banque Mondiale au Niger, de l’Administrateur intérimaire du Centre Régional Agrhymet, M. Samba Ly Souleymane et de M. Souleymane Fofana, chargé du PRAPS Niger à la Banque Mondiale.
Les différentes allocutions qui ont ponctué cette cérémonie d’ouverture ont été l’occasion de rappeler combien le PRAPS est un projet ambitieux et porteur. C’est ainsi que M. Bakayoko, Représentant résident de la Banque Mondiale au Niger, a tenu à transmettre toute sa satisfaction de voir le PRAPS évoluer positivement avec déjà une forte mobilisation quant au financement du pastoralisme au Sahel. Ce projet, en effet, constitue un modèle pour de nombreux autres en gestation par la Banque Mondiale pour notre région. Eradiquer la pauvreté et répartir les fruits de la croissance : sont des objectifs auxquels le PRAPS contribue effectivement. Ses propos ont également fait remarquer les grandes attentes nourries pour cette rencontre, cadre de rassemblement des praticiens, d’échange et de partage de savoirs
M. Samba Ly Souleymane, Admnistrateur Intérimaire du Centre Régional AGRHYMET, institution spécialisée du CILSS, a également conforté les propos de M.Bakayoko, en témoignant de l’ardeur au travail des équipes nationales et régionales du PRAPS. Ce dynamisme porte des fruits en dénote les missions de supervision à la mise en œuvre du projet dont les conclusions n’ont eu de cesse de montrer l’impact bénéfique du projet. Il a également rappelé l’importance de la collaboration entre acteurs du PRAPS : partenaires techniques, organisation intergouvernementales, organisations professionnelles et de la société civile. Convaincu qu’à l’issue de cette édition des Entretiens Techniques du PRAPS, les notes produites seront à même d’impulser des changements nécessaires pour une place plus grande du pastoralisme dans nos économies nationales, il a tenu à remercier la Banque Mondiale partenaire technique et financier du PRAPS ainsi que le consortium IRAM-CIRAD pour leur accompagnement scientifique et technique.faire, connaissances et de stimulation de solutions face aux nombreux défis qui se dressent au pastoralisme au Sahel.
Enfin, M. Mohamed Bouchari, ministre délégué en charge de l’élevage du Niger, de partager ses fortes attentes face à ces Entretiens Techniques du PRAPS qui tout comme le projet en lui-même cadrent avec la vision du gouvernement nigérien qui met un point d’honneur à développer l’agriculture et l’élevage, « mamelles de nos économies ».
Face aux nombreux défis de la région : insécurité généralisée, mobilité pastorale, changement climatique…, il apparait primordial de travailler à la réduction des dommages directs et collatéraux liés à la transhumance et ainsi mieux anticiper les crises qui pourraient survenir. Cette rencontre vient donc à point nommé.
Partage de connaissances et d’expériences, renforcement de capacités des acteurs du PRAPS, échange d’informations, valorisation des savoirs et connaissances, sont tant d’objectifs poursuivis par les organisateurs de cette deuxième édition des Entretiens Techniques du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel. Une centaine de participants venus du CILSS, des organisations internationales, régionales, nationales, de la société civile, des organisations paysannes, des organisations partenaires techniques, des organisations partenaires techniques et financiers, des gouvernements, sont ainsi réunis pour durant ces 3 journées débattre des solutions de prévention et gestion des crises pastorales.